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Je vais vous montrer aujourd'hui, une page digitale classique et une scénique.
Pour la seconde, je vous montrerai les différentes étapes pour arriver à l'ombre portée différente de l'ombre au sol et de celle qui "colle" à l'objet...
Je comprends mieux pourquoi c'est la hantise des scrapeuses de haut niveau. Je pense que je vais rester dans leur ombre , sans faire de mot d'esprit.
Une chose est certaine, après cette expérience, je vais photographier et regarder de près les ombres dessinées par les objets, les corps, etc.
Voici la première page que j'ai proposé à ma "designeuse préférée" pour le kit "Dancing with her" par Vero, Valentina et Wendy :
Ma page dite "classique" (ombres collées aux objets selon la lumière et l'intensité)
Je vous montre donc, l'objet de toutes mes angoisses... Je plaisante mais regardez les différentes étapes pour en arriver à... un résultat encore passable.
Je remercie mon amie Cath qui m'a aidée par ses conseils et son expérience dans l'art digital, comme l'ont déjà fait Betty et Véro pour mes premières ombres. Je suis heureuse de constater que le partage et la solidarité existent aussi dans le scrap digital.
Pour une page scénique, il faut détourer le personnage et je n'ai pas choisie une qualité suffisante pour la photo (crédits d'images avec abonnement). Ceci rend l'opération délicate car elle devient floue lorsqu'on modifie la taille ; on ne voit plus les défauts à gommer.
Cette page sera sûrement refusée et ne représentera pas le kit en boutique puisqu'elle est encore imparfaite.
1) Ombres au sol - 2) Ombre au sol (gramophone, roses) et ombre portée pour le couple de danseurs
Comme vous pouvez le constater, les objets gramophone et roses ont bien reçu une ombre au sol (en deux fois) ainsi que le couple sur la première photo.
Sur la seconde, on me demande de corriger le tir ; ombre portée pour le couple et on garde l'ombre au sol pour les objets.
On a l'impression qu'un vampire joue à côté du couple ? Il faut déformer et modifier cette ombre c'est certain. Un appel au secours est lancé et Cath l'a entendu. Elle vole à mon secours aussi vite qu'un éclair, se rappelant la galère de ses débuts.
Me voilà de nouveau, face à ma copie sur Photoshop en essayant d'appliquer les conseils de Cath. Qui a dit que le scrap digital était facile ?
Je vous montre la troisième page qui n'est pas une réussite mais là, je "crise". Je la reprendrai une autre fois car je me sens incapable de l'améliorer.
Troisième page et ombre portée
J'ai réalisé d'autres pages scéniques depuis mais avec plus de facilité. Après, comme le dit si bien, Cath, c'est une affaire de goût car on ne peut parler de réalisme dans ce type d'ombres. Il n'y a pas de mesure précise car ce n'est pas un calcul mathématique.
Tout ceci me permet de progresser et d'apprendre de nouvelles techniques. Cela permet une approche plus artistique du scrap digital.
Avant de vous quitter, je voulais juste vous dire qu'une personne s'est estimée lésée parce qu'elle n'a pu participer au tirage au sort pour mon blog Candy ?
Si j'avais su qu'un modeste blog Candy pouvait générer ce type de réaction, j'aurai renoncé à le proposer. Je n'ai pas trouvé le mail de cette personne ni de commentaire sur mon article. J'ai, par mesure de précaution, lancé un dernier appel avant de fixer définitivement la liste des participantes dans un article. Elle ne s'est pas non plus manifestée... Elle a attendu la désignation de la gagnante pour réagir ?
Je lui ai dit que mon blog Candy n'avait rien de contractuel. Il ne s'agit que d'un petit jeu pour lequel je ne suis pas sponsorisée pas une boutique ou une marque.
J'ai apporté un peu de joie chez l'une d'entre vous et cela me suffit !
Ceci me fait hésiter à en proposer un autre pour la Saint Valentin. Je n'aime pas trop qu'on "me chatouille" car la vie est assez compliquée sans que des inconnues viennent défendre "leurs droits" sur mon blog.
Là, je compte les points et ce mois ci, j'en ai deux qui m'ont mise en colère.
Je vous laisse méditer sur la citation du jour pendant que je réfléchis à l'avenir de Papelicos et au mien par la même occasion.
Dans la connaissance du monde, ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui n'en savent pas plus qu'eux.
